S’il est vrai que les mouvements collectifs peuvent être le théâtre du pire, ils génèrent également de la solidarité et de l’intelligence.
Au croisement des approches historique, sociologique, politique, psychologique et anthropologique, ce film d’une quinzaine de minutes traite des bousculades meurtrières, de la réalité des catastrophes qui comprend plus d’entraide que l’imaginaire cinématographique ne le fait croire.
L’effet d’entrainement d’une foule, qu’il conduise à la liesse ou à la violence est également discuté dans ses aspects les plus sombres, comme les crimes de masse, mais également les plus fraternels et solidaires.
Ce film est un vrai spectacle : il se déploie sur deux écrans verticaux et un vidéomapping sur une installation plastique.